Les quatres premier paragraphes

Le souffle du monstre

    Le voilà! S’écria le marin sur la hune. Alors voilà je m’appelle Victor j’ai 12 ans et je vous raconte mon histoire qui s’est déroulé en l’An 1837. Cette histoire se passe à deux endroits différents(sur terre et sur mer.)Les personnes trop émues peuvent être traumatisées, alors, je leur conseille de s’arrêter à la fin de cette phrase, au lieu de continuer en pleurant, car l’histoire que je vous raconte n’est pas des plus joyeuses.
    Dimanche 22 juin, il pleut. Je suivais la voiture grise avec Père et quelques autres personnes de l’énorme bidonville voisin. Père et moi ne pleurions pas et il y avait des personnes qui s’amusaient (maintenant, je me demande comment j’ai fait pour ne pas pleurer). Quelques minutes plus tard, nous entrâmes dans un endroit que je ne connaissais pas. Nous passâmes la porte en fer rouillé, quand je demandai à Père ce que c’était que tous ces monuments gris…pas de réponse…La voiture s’arrêta et on en sortit une grosse boîte en bois que l’on emmena jusqu’à une fosse qui avait été creusée à la pelle(pleine d’algues et de moisi). Ils mirent la boîte dans le trou et ils s’en allèrent tous alors que Père et moi restions là. Je me mis à pleurer car en fait c’était ma mère que l’on enterrait là.
    « Victor, habille-toi et descends déjeuner »me dit Père le lendemain. Je m’habillai avec mes habits préférés, je descendis et Père m’hurla à la figure «Victor! Qu’est- ce que c’est que ces affaires !Va les changer immédiatement…ou plutôt tu peux les garder mais tu me fais honte! Et dépêche-toi, monte en voiture nous allons au bar. »_Ce bar s’appelle MAIZID. A chaque fois, dans ce bar, tous les gens du quartier viennent se réchauffer à l’intérieur pour boire de la bière, pour fumer et pour se crier dessus pour un oui ou pour un non(ils sont souvent bourrés et comme par hasard Père en fait partie). Dedans les gens sont désagréables. Aujourd’hui, le père la Faillette me dispute parce que soi-disant je n’ai pas le droit d’accompagner Père!_ Il lui répondit : « Je ne laisse pas tout seule à la maison. C’est tout. »
    Le marin Daudelois demanda à Père : -Dis donc, Habrame, est-ce que tu sais nager ? Et Père(encor une fois saoul) lui dit :
-Bas quoui qu-j-sais nager !Pourquoi qu…u…me demandes ça ?
-Non mais comme ça, je voulais juste te dire que des gens prévoient d’aller capturer AÏDINELA,





le monstre marin qui, pour tout le monde, une légende. Veux-tu te joindre à nous ?
-Ouais, j’veux !Déclara Père sans plus attendre.

Comments

[Lucas]

Alors voila je vous présentes un petit aperçu de la vrai histoire du souffle du monstre.Et aussi (je fait de la pub hein,eheheh!)allez sur le site de mon frère www.anfer-serie.com/